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Salon de la sécurité des Etats Salon MINIPOL

jeudi 20 octobre 2011, par Jean Claude Bourgeois


Octobre 2011 salon de la sécurité des Etats à Versailles

Très intéressant

Vous pouvez trouver des infops sur les sites suivants

Boçnne lecture

http://www.milipol.com/

http://www.defense.gouv.fr/dga

Ci-dessous un matériel qui dans l’avenir sera très intéressant

Décupler la capacité de la personne qui s’équipe » L’objectif de ce prototype est simple : renforcer les capacités du corps humain à transporter de lourdes charges, allant de 80 à 100 kg, sans qu’il en ressente d’effort : ce ne sont plus les muscles qui portent le poids, mais la structure du robot.

Le cahier des charges demandé par la DGA comportait, entre autres, deux points essentiels : un robot ergonomique dont le poids ne dépasserait pas 25 kg. L’objectif : « Qu’il soit facile à manipuler, compact quand il sera inactif. Il doit être une aide, pas une gêne ! »

Si des prototypes concurrents existent déjà, Hercule marque un réel tournant dans l’histoire de la maîtrise des technologies « robotoïques » : il est entièrement animé, à chaque articulation, par des moteurs électriques de dernière génération qui entraînent des actionneurs à câbles mécanisés. Cette innovation majeure permet un rendement supérieur à ce qui se fait actuellement. À noter également, un « mode réversible » de ces articulations, qui fonctionnent donc dans un sens comme dans l’autre. De plus, outre une durée de vie d’environ dix ans, l’autonomie (avec les générations actuelles de batterie) sera de l’ordre de 20 km à 4 km/h pour un objectif de charge de l’ordre de 80-100 kg.

Autre atout de taille, « l’asservissement » . Le robot n’est pas commandé, il détecte de lui-même les mouvements de l’utilisateur et ne fait que les accompagner en supportant les efforts à la place de l’homme. Autrement dit, si vous commencez à esquisser le début d’un pas, la jambe mécatronique suit immédiatement le mouvement (ainsi que lorsque vous réduisez l’allure, ou décidez de vous arrêter, bien entendu). L’équilibre de l’exosquelette est supervisé par une centrale inertielle, pour une sécurité maximum. « Avant d’être à l’aise avec cet équipement, il y a bien sûr une petite phase d’adaptation et de prise en main », sourit l’ingénieur.


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